rêve hivernal









Et puis la déco minimal c'est pas mal quand même !
un bel exemple ici chez the selby
Désolé pour la colorisation des dessins fait à l'arrache, par manque de temps !

A tribute to YSL







Cela fait longtemps que cela ne m'est pas arrivé, un flash sur un sac, et même 2, le Tribute et la besace d'ysl:

Les sacs je vois cela comme des sculptures gourmandes, tout comme les chaussures et les chapeaux, des objets en 3 dimensions qui ont le pouvoir de vous laisser pantoise ou hystérique...

Il y'en a qui paraissent être pil-poil "vous" on ne sait pas par quel miracle... Alors la responsable en partie de cette dérive modesque est garance doré et sa photo avec la très sensuelle Léa Seydoux au bras duquel le truc pas possible qui me vaut cette diatribe lyrique (j'aurais d'ailleurs volontiers mordu dans son sac, mais je m'égare...).
Et en tombant sur le site d'ysl je vois non seulement la jolie besace qui existe aussi dans une version Glam (dans sa version noire elle me fait penser à un bon réglisse du genre roudoudou) mais aussi le fameux tribute avec sa ligne épurée et son cuir tanné comme il faut (que j'imagine bien en barre de chocolat noir de chez voisin chocolat amer au café).
Il y'a 1 chance sur 10 millions que l'un des 2 se baladent sous mon bras, mais l'espace d'un instant je me suis à rêvasser. C'était ma minute fan d'ysl.



photo garance doré



Besace Medium Flap Bag Gold & Noir
Large Tribute
YSL







Retour aux fondamentaux
















de l'influence de la couleur...







Pour faire face à la grisaille rien ne vaut qu'une belle couleur. Donc ne porter que du rouge, du orangé, du bleu pétard et cela sans parcimonie, bien sûr savoir doser savamment chaque couleur sans pour autant se transformer en épouvantail est aussi un art difficile. Tout est question de quantité comme en peinture...

edit : alors cela est sûrement dû au climat gris souris et humide de notre mois de décembre, en parlant de couleur j'ai vu que punky-b fait une très jolie leçon de couleurs anti-grise mine.

Saison des galinacées













Beaujo nippon













Jeudi c'était le beaujolais nouveau.
D'ordinaire je ne fête pas la sortie de ce vin car je dois dire que je n'en suis pas fan, néanmoins j'ai goûté au Blanc Macon-Villages et bien avec du brie-savarin c'est totalement renversant.

Mais pourquoi ai-je donc transgressé mes habitudes ?
et bien parceque Christophe, poissonnier de la Cité de la Buffa et le meilleur de Nice en passant, à opté pour une collaboration avec le chef étoilé Keisuke Matsushita.

Le restaurant de Kei existe depuis 6 ans environ et j'y suis allé dès que je le pouvais goûter aux subtilitées méditerranéo-nippones de ce chef ayant fait notamment son apprentissage auprès des frères Pourcel et de Régis Marcon.
Toute la brigade du restaurant était donc au rendez-vous pour ce banquet offert, un moment convivial où les multiples sushis offerts furent littéralement pris d'assaut par bon nombre de personnes présentes ce jour là.

Donc je me suis empiffré régalé de sushis ! Kei à eu la bonne idée d'y mettre une feuille de chiso basilic japonais afin de donner une note plus parfumée aux sushis et dans certains la note de wasabi(sorte de raifoirt) fut particulièrement relevée ce qui à occasionné quelques habituelles sorties lacrymales.

Ceci étant pour déboucher le nez c'est radical un sushi !

La collaboration Christophe & Kei fut réussie et j'étais contente de voir que certains sans le sou ont pû aussi profiter de cette journée en mangeant des sushis que peut-être ils n'ont jamais goûter de leur vie.

















Web : Keisuke Matsushima
22 rue ter de France 06000 NICE - T.04 93 82 26 06
Cité de La Buffa 54 bis rue de la Buffa – 06000 NICE

Nom d'un sashimi










Le japon est le pays où l'on mange le mieux 227 étoiles michelin uniquement à Tokyo !
Donc pour rester dans le ton une adresse qui se trouve à côté de Kamakura : Irori ya moku.

Atmosphère boisé et tamisé dans ce restaurant où on mange divinement bien.
Une présentation soignée avec des plats présentés sur des plaques en bois travaillé par le chef qui se trouve être aussi le designer de celles-ci. Il possède d'ailleurs un atelier où il conçoit aussi du mobilier, tables, plateaux, incroyable de pouvoir cumuler ses fonctions avec autant de maestria.
Cet endroit met en valeur les idées de l'ancienne maison japonaise avec un âtre ouvert où sont grillés les poissons et où la sobriété de la présentation permet de réveler la couleur des poissons avec beaucoup d'élégance.
Je n'ai pas testé de restaurant gastronomique au japon mais celui-ci m'a complètement "taper dans les papilles" les sashimis sont incroyablement présentés mais sont aussi beaux que délicieux, les poissons grillés une tuerie...

Une adresse que je recommande avec des menus qui débutent à 2000 yens le midi jusqu'à 5000 yens le soir,vu le menu proposé cela n'est pas du tout cher !(16 à 40 €)

Irori ya moku
神奈川県三浦郡葉山町上山口 2559-4

Kanagawa-ken miura-gun hayama-chô jô yamaguchi 2559-4
T. 046-878-9153

Web : Irori yamoku

mini-maxi tracas !






A chacun ses J.O







Pour ceux qui ne comprennent pas ce language crypté, il s'agit tout simplement d'une épreuve connue de beaucoup depuis cette été, et qui se passait hier allover the world...
Bref, moi qui inaugurait pour la première fois celle-ci pour cause d'addictions de pois Made in Kawakubo, j'ai quasiment réussi l'épreuve de l'immersion-apnée en eau trouble...

Gris, gris, gris









Y'a pas que nous (2)







Y'a pas que nous (1)











Suite à venir...

Goddaaaam !
















Panne de courant





Madame Ventouse













le chaînon manquant










Roulons écolo...

Je suis un chat...





En voyant ce chat immobile et qui adroitement s'était abrité de la pluie, droit comme un I, parallèle à la magnifique pierre érigée à côté de lui,j'ai pensé au livre de Natsumé Soseki "je suis un chat".

J'ai tout de suite compris que ce chat était un sage, une sorte de moine bouddhique réincarné en chat.







Et puis dans la foulée un périple à Engaku-ji un temple à Kamakura m'a fait tomber en arrêt devant ce vieil homme "oji-san" tellement beau que je n'ai pas résisté à lui demander de le prendre en photo. Il à rigolé en se montrant du doigt "moi me prendre en photo ?" et il s'est laissé faire avec beaucoup de gentillesse...

Je suis sûr qu'il aurait pû se faire embaucher pour une campagne Yamamoto, et que même sapé avec un torchon il aurait été beau, son élégance naturel et sa simplicité m'a touché.

Y'a plus d'intimité...








Le truc de l'espace...



Si on m'avait dit que ces machins translucides se mangeaient j'aurais tout simplement crû à un remake d'alice au pays des merveilles... Seulement le monde et la flore aquatique est rempli de mystères surtout quand il s'agit de mer du japon et tout particulièrement de celle qui est plus au sud.
Je veux parler d'Okinawa.

Bref, cette algue fait partie du régime d'okinawa et celle-ci est remplie de vitamines !
A manger il s'avère que l'expérience est totalement extraordinaire, les petites boules translucides vertes craquent sous la dent pour délivrer un jus extrêmement fin et gouteux absolument indescriptible, car je n'ai pas d'équivalent au niveau du goût avec la nourriture européenne.

Il y'a bien d'autres sujets aquatique inconnus au japon qui n'existent pas ici, mais cela sera le sujet d'un autre post...









Qui l'eut crû











le casse tête





4ème dimension


Il n'y a que noailles qui m'aille
















J'ai fait un saut à la Villa Noailles voir l'expo design parade et bouroullec. Il y'a quelques années je l'ai visité mais elle était encore dans un état de décrépétitude, murs rongés par l'humidité et une désolation de laissé à l'abandon. Aujourd'hui la villa est plus belle et revèle ses volumes sous le ciel bleu de hyères.L'aile 1 abrite l'expo des designers connus : les frères bouroullec extrêmement mis en valeur dans le squash, Sébastien Cordoléani & Franck Fontana avec des luminaires très réussis et très épurés.


Puis dans l'aile 2 on trouve les travaux de jeunes designers pour un concours seb et d'autres projets, je n'ai pas vu de choses qui ont retenu mon attention. J'ai trouvé un peu poussif le fait que l'on puisse pas poser son séant sur un banc, il faut dire que les pieds n'avaient pas l'air bien solide. Mais pour un meuble design, c'est un peu le comble...le principe me semble toutefois très pertinent malheureusement le nom de la personne m'a échappé...j'étais plus absorbé par le lieu que je redécouvrais sous un autre jour.

En faisant un crochet par la librairie, j'ai découvert les photos de la Villa Noailles par Jacqueline Salmon dans une petite édition.

Elles témoignent du temps passé, mais également de l'extrême beauté de l'architecture de Mallet - Stevens dépouillée, abimée mais qui révèle encore plus le génie de l'architecte.




Photos Noir & Blanc : Le salon rose ou l'atelier avec la verrière de Barillet - Le squash - Photo Jacqueline Salmon©/Robert Mallet Stevens et la Villa Noailles à Hyères chez Marval